Musée

La ferme Linck

La ferme Linck est un petit musée, le seul existant sur la commune de Schiltigheim, et dont l’accueil est assuré par
l’ association Mémoire et patrimoine de Schiltigheim.

Les bénévoles de l’association vous invitent chaque weeckend -les samedi et dimanche après midi- pour vous pencher sur l’histoire de la ville de 1860 à 1939.


– 5 salles sont en exposition permanente:

  1. Auguste Michel et le Kunschthaafe
  2. les industries florissantes à cette époque
  3. plus particulièrement l’industrie brassicole
  4. la vie associative
  5. et politique


– 1 salle est en exposition temporaire.


après le peintre Emile Stahl,

Ernest Buckenmeyer, sculpteur sur bois, ébéniste et poëte.

1er juin 2022, l’incorporation de force en 1942,

Le théâtre Alsacien de Schiltigheim.

actuellement René et Michel Hatt,


En prévision, le Dinghof .


Possibilité des visites privées en semaine (écoles, personnes âgées, groupes etc…)
Attention, les jours fériés, la porte peut être close.

Nous contacter sur: contact@memoire-patrimoine-schiltigheim.fr

Les parcs et jardins publics.

La ville s’est dotée de nombreux parcs, de plus ou moins grands importance. Certains se limitant à des espaces de jeu pour les enfants, d’autres beaucoup plus arborés. Enfin certains ont vu une parcelle réservée à du « jardin partagé » , pratique appelée à se développer et entrant doucement dans les usages des riverains.

En voici une liste plus ou moins exhaustive et par ordre d’importance :

  • parc des rives de L’Aar
  • parc du Château
  • parc des oiseaux
  • parc de la roseraie
  • parc de la résistance
  • par Léo Delibes
  • parc de la lune
  • parc des malteries
  • square de la Glacière

Parc du château.

Un grand et beau parc, en coeur de ville, qui s’est énormément amélioré en 30 ans.

  • une superbe aire de jeux pour les petits.
  • des espaces ombragés
  • de vastes pelouses
  • un compost et un coin de jardinage pour l’école voisine.

Parc de la roseraie.

La Roseraie est un des patrimoines précieux de Schiltigheim. Elle fait partie de l’histoire du mouvement ouvrier de Schiltigheim et date de 1926/1929 . La roseraie est crée par un petit groupe de cheminots, amoureux des roses sur un terrain vague de 30 ares mis à disposition par la ville ( sous le maire Adolphe Sorgus, qui a été aussi à l’initiative des jardins ouvriers.)

Patrimoine religieux

Nous pouvons visiter des églises, dont certaines sont agrémentées de magnifiques vitraux. mais aussi les cimetières qui petit à petit s’éloignent de leur église mère, ou du centre de la ville. Certains peuvent surprendre.

L’église protestante rue principale.

Le vitrail monument aux morts dans l’église.

La verrière de l’église protestante : monument aux morts de la Grande guerre.

Elle a été réalisée en 1924 par le peintre-verrier Joseph Ehrismann (1880-1937) à la demande du conseil presbytéral et de l’ « Evangelischer Volksbund ».

Comme l’Eglise protestante demeure attachée à l’art de l’époque qui la vit naître, Joseph Ehrismann puise son inspiration chez Mathias Grunewald (1475/1480-1528) et tout particulièrement dans la Crucifixion du retable d’Issenheim (1512-1516) : les analogies sont nombreuses depuis un cadrage resserré, une composition pyramidale sur fond sombre, un groupe d’au moins trois personnes au pied de la croix, une gamme chromatique réduite, un dessin puissant et incisif. Des différences se perçoivent également : la  Vierge, Saint Jean et Marie-Madeleine ont été remplacés par un couple et une fillette. Le vêtement de la mère cependant, bleu et blanc, rappelle la Vierge. Le père, tout de noir vêtu, n’est pas sans évoquer la figure de Martin Luther. La fillette debout, dans une représentation très contemporaine avec son tablier à carreaux et sa natte blonde intercède en faveur des défunts. Ehrismann exploite un sujet central de l’iconographie chrétienne, servi par un artiste qui a produit un message puissant et éternel, tout en le détournant dans l’expression d’un espoir universel; à cet effet, il modifie subtilement la figure centrale, Jésus-Christ : il en conserve la dimension initiale, mêlant expressivité et tragédie, présente dans la crispation des mains et des flots de sang s’écoulant des plaies, il l’atténue en représentant le Christ vivant, au corps peu marqué par les stigmates du portement et de la crucifixion.

source : Bernadette Schnitzler, Olivier Haegel, Jean-Noël Grandhomme, Mourir pour la patrie ? Les monuments aux morts d’Alsace-Moselle: Lieux-Dits, 2016 (Région Grand-Est, Inventaire général), p.100-101

Eglise de la sainte Famille.

Eglise saint Charles

un endroit caché dans la propriété.

Les vitraux remarquables.

Eglise Saint Charles .

Ces vitraux se lisent comme des bandes dessinées, mais de bas en haut.

Le vitrail de gauche décrit la vie de Saint Charles de Boromée. Celui de droite représente dans le médaillon central son extrême onction et la montée au ciel dans celui du haut.